La transformation, c'est comme un oignon...
- inoury4
- 5 avr.
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La transformation, c’est comme un oignon…
A la surface, une fine couche qui s’effrite sous la pression des doigts…
Ce sont les premiers temps de la transformation, où, avec nos référentiels, nous adaptons nos modes de fonctionnement aux évolutions nécessaires. Sous cette légère pression, l’oignon résiste à peine.
Mais l'oignon est composé de couches de plus en plus serrées, qui protègent le cœur. S’y attaquer, c’est s’exposer à un dégagement de soufre. L’oignon se défend.
Or, ce n’est pas en surface que se produit la transformation, dans les couches faciles à travailler. Ce n’est pas non plus seulement dans le système extérieur, qu’il suffirait de modifier du bout des doigts, à distance. Nous sommes chacun une composante du système.
Arrive le moment où il n’est plus possible d’avancer dans la transformation de notre environnement sans s’interroger sur nos propres freins au changement. Le moment qui pique et fait pleurer.
Le contexte nous lance des injonctions à la transformation, quand, peut-être, nous avons besoin de protection, de rien qui ne pique davantage.
👉Prendre en compte les dynamiques humaines devient fondamental, pour que la transformation ne soit pas synonyme de difficulté. Pour qu’on n’attende pas la fin du processus pour se poser la question du cœur.