Passer du dilemme à une nouvelle dynamique
- inoury4
- 24 oct.
- 2 min de lecture

Il faut bien le dire, faire face à un dilemme, c’est comme devoir « choisir entre la peste et le choléra ». Brr…
Quel que soit le côté où on tourne la tête, la situation est insatisfaisante et porte en germe de futurs problèmes potentiels : quelle option privilégier, si c’est pour exposer mon activité, mon entreprise, à de nouveaux risques ?
Chacune des deux pistes court-circuite l’autre et là, c’est le coup de frein.
On cherche alors une 3e voie pour sortir de l’impasse, en prenant de la hauteur, mais…
IL Y A UN TRUC…
Cette 3e voie est rarement positionnée au même endroit que le dilemme, ni juste au-dessus, comme une synthèse des deux options contradictoires.
Elle ne peut pas faire naître des solutions, ouvrir de nouvelles perspectives, en prenant racine dans un terreau infertile.
Le dilemme a la puissance d’aspirer notre attention et notre énergie : résistons à sa force d’attraction pour le mettre un instant entre parenthèses…
FABRIQUER L’ANTIDOTE
Pour fabriquer l’antidote, on a besoin d’élargir le champ au-delà de la limite imposée par le paradoxe et de se mettre en quête d’ingrédients positifs : une idée restée dans les cartons, des acteurs qui n’attendent que de se mobiliser, un client avec qui co-construire…
Entre ces points d’appui se tisent des fils. Un nouveau dessin apparaît. La perspective change…
On regagne de l’énergie.
On s’ouvre aux opportunités.
On maîtrise peu à peu une nouvelle dynamique.
Avec l’évolution des mécanismes, le dilemme perd en impact, voire se décompose.
Au final, on n’a pas cherché une 3e voie qui existerait déjà, on l'a construite en exerçant
pour :
Aborder une situation dans sa globalité
+ Faire bouger notre représentation des mécanismes
+ Se saisir d’actions-leviers
= Passer du cercle vicieux au cercle vertueux





